La Gallery Delarue célèbre le Black History Month
La Gallery Delarue est fière de présenter ‘Delarue: The Black Experience Edition’, une exposition d’art passionnante présentant des illustrations d’artistes afro-descendants venant des quatre coins du monde.
Le 11 octobre, The Black Experience Edition prendra la résidence pour une soirée uniquement au centre de la communauté créative de Londres, The Hospital Club.
Doté d’œuvres de plus de 15 artistes, aussi bien de style street que contemporain, l’exposition intègre leurs interprétations individuelles de l’expérience noire, à travers son histoire, ses cultures, ses complexités et sa splendeur.
Les visiteurs en découvriront également plus sur le mouvement Gallery Delarue présenté par les conservateurs eux-mêmes et suivi d’une courte session de Questions/Réponses.
“Nous sommes extrêmement enthousiastes à l’idée de rassembler les œuvres d’artistes talentueux qui gagne leur place dans l’industrie”
Accompagnés d’un DJ tout au long de la nuit, les invités auront la possibilité d’échanger avec certains des artistes et de célébrer ensemble le Black History Month avec la Galerie Delarue, le 11 octobre, de 19h à 23h.
L’artiste franco-cameronais Fred Ebami sera parmi les artistes exposés lors de la soirée. À 40 ans, le dessinateur trace sa route dans le pop art, inspiré qu’il est par plusieurs grands maîtres. C’est avec des couleurs tape-à-l’œil que l’on peut apprécier un tableau avec un Nelson Mandela en super-héros ou encore un Kanye West dessiné sous les traits de Mobutu, en raison de son goût prononcé pour sa personne. Voilà ce que donne à voir l’oeuvre picturale de Frédéric Ébami.
« Les artistes qui m’inspirent sont Oliviero Toscani avec ses pubs Benetton, Andy Warhol, Roy Lichtenstein, Jean-Michel Basquiat, les comics dans lesquels j’ai baigné et aussi le monde dans lequel je vis », dit Fred Ébami, passionné de pop art, mot issu de la contraction de popular art – art populaire en français – mais aussi d’un courant né au Royaume-Uni vers 1950 qui s’est répandu, notamment aux États-Unis, une décennie plus tard. « C’est un mouvement populaire qui s’inspire de la société du no tabou, de la société de consommation et des effets de la société. C’est la vie telle quelle. C’est l’histoire du peuple, par le peuple et pour le peuple », précise l’esthète.
Source : https://www.gallerydelarue.com/events/2017/9/9/black-experience, http://afrique.lepoint.fr/culture/fred-ebami-ou-l-afrique-du-pop-art